• L'« inceste invisible » de l'État français légalisé.

    Un « inceste invisible » qui ne dit pas son nom : l’inceste de l'État français

    Cette « inceste invisible » de l'État français a été instauré subrepticement, puis « légalisé », à travers la promulgation d'un certain nombre de « lois », et notamment la nouvelle loi relative au délit de « violences psychologiques faites aux femmes  » dans le couple. Sous la pression de certains « psys » issus de mouvances idéologiques nauséabondes et détestables, (Yvonne Poncet-Bonissol officie, hélas, dans l'émission Toute une histoire sur France 2, Violaine-Patricia Galbert dans l'émission C'dans l'air sur France 5, Marie-France Hirigoyen etc.), de féministes intégristes (Sihem Habchi du mouvement Ni pute ni soumise etc.), d'avocats douteux (maitre Geiber officiant sur France 2 dans l'émission Toute une histoire), de journalistes féministes intégristes (Marie-Ange Le Boulaire qui officie dans les JT de France 2, Françoise Joly et Guilaine Chenu dans l'émission Envoyé spécial de France 2 etc.) et de personnes issus de certains milieux associatifs plus que douteux, des « lois anti-républicaines et illégales » ont été votées par la députation : « Il n'y a en effet de légalité que si et seulement si la loi est articulé au respect scrupuleux et effectif des procédures démocratiques, des valeurs et des principes d'une République [...], en partant du postulat que nous sommes dans une République, ce qui n'est aujourd'hui plus vraiment le cas [...]. Qu'est-ce qui caractérise alors ces hommes et ces femmes qui ont réussi à imposer leur loi par des moyens condamnables ? On peut faire ici le parallèle, voir un lien de parenté, entre la perversion du pervers sexuel pathologique et celle de ces hommes mais surtout de « ces femmes, féministes et psychologues » : une « structure et une personnalité perverse ». En effet, si le pervers sexuel pathologique impose à autrui « sa » loi, essentiellement d'ailleurs par la violence physique, à contrario, la féministe, la journaliste et la psychologue perverse, notamment, s'inscrivent sur une échelle d'une toute autre envergure, et imposent à la collectivité « leur » loi, non seulement par des manœuvres déloyales, des pressions permanentes sur le législateur, un lobbying, mais aussi et encore par un formatage médiatique des esprits, un terrorisme intellectuel systématique et surtout un contrôle des représentations sociales en écartant la dissidence intellectuelle des plateaux télévisuels […] : même mode opératoire, même méthode, même stratégie, et même processus inconscients pour arriver à leurs fins, d’où d'ailleurs l’expression heureuse du chercheur et sociologue J.P Legofff : « Le rapport bien particulier à la loi des psychologues, psychothérapeutes et autres associations de victimes » (cf. l’article sur Le harcèlement moral du même auteur). La « Loi de la République », la Loi dans sa neutralité, son respect des valeurs de la république et de l'Intérêt général, sa constitutionnalité etc.) a cédé sa place à des « lois »  émanant de cerveaux structurés dans la perversion. La députation française, gardienne des valeurs de la République s'est discrédité et avili en commettant une nouvelle fois de plus un outrage au drapeau  français et à la République. L' « inceste invisible , selon la définition d'Aldo Naouri et de la psychanalyse, se caractérise de la façon suivante : un lien malsain qui n'a pas lieu d'être « en empêchant l'enfant de grandir » (dans la famille) ; un lien malsain qui n'a pas lieu d'être « en abolissant la distinction sphère privée/publique » (au niveau de l'État français) ; un lien malsain qui n'a pas lieu d'être « en effaçant les frontières entre les corps » : les frontières symboliques entre le corps physique de la mère et celui de l'enfant (famille), mais aussi entre le corps politique et le corps social (État) sont floues, indiscernables et confondus (famille et État français) [...], d'où une « infantilisation » des individus et la disparition du sujet, et donc de la « violence psychologique » faite aux hommes et aux femmes [...] Par qui ? Orchestrée de main de maitre par ces femmes surtout qui dénoncent les effets du harcellement, de l'inceste, et de la violence psychologique etc. sur les plateaux télévisuels, on pourrait en rire s'il n'y avait pas tant de souffrance et de détresse chez nos enfants et chez nos maris. Dénoncer le crime ou l'horreur du phénomène social (la « violence psychologique », l'inceste et le harcèlement etc.) pour mieux le perpétrer, mais sur une échelle plus grande et qui plus est en toute discrétion et en toute impunité, tel est l'art féminin et féministe d'aujourd'hui. Citons encore à ce propos J.P Legoff : « Dans sa formulation comme dans la mobilisation qui s'est faite en son nom, le harcèlement moral participe de ce qu'il dénonce.[...] L'agressivité qu'on entend combattre et éradiquer au nom de la lutte contre le harcèlement se retrouve dans la véhémence de la dénonciation publique. Médias et justice deviennent les instruments d'une lapidation symbolique [...] » L'émission de M6 Génération Famille fut un exemple mémorable et inoubliable : sexisme et violences psychologiques à l'encontre des hommes étaient au programme de cette émission, au nom de la dénonciation des violences faites aux femmes, avec la bénédiction du proconsul Frémiot [...] Citons ici E.Badinter : « Les hommes et les femmes sont à égalité en ce qui concerne les violences psychologiques » = sexisme à l'encontre des hommes dans cette émission [..] ; mais aussi des « violences psychologiques », car il n'y a pas eu d'experts psychologues opposés à  cette femme issue d'une mouvance idéologique "sectaire"pour équilibrer les débats  : Marie france Hichigoyen ....[...]

    Livre/article à lire (obligatoire) :  Big Mother de Michel Schneider, écrivain et psychanalyste (ce livre préfigure cet inceste féminin invisible au niveau de « l'État français »)

                                                               La proportion maternelle à l’inceste d’Aldo Nourri, célèbre pédopsychiatre (cet article d’Aldo Naouri explique la notion d' « inceste invisible féminin » au niveau de « la famille ») 

    J'ai été scandalisé par le reportage tendancieux et partisan de Marie-Ange Le Boulaire sur les "violences psychologiques" faites aux femmes, sous tendant que les "violences psychologiques" ne sont que dans un sens d'ailleurs. Le respect de l'Autre semble dorénavant et plus que jamais à sens unique : "respectez nous, vous, les hommes ; nous, les féministes et les femmes, on a le droit de ne pas vous respectez ! ", comme si les femmes respectaient toujours les hommes et les enfants et que la faute incombe toujours à l'homme ; indigné par rapport à une nouvelle loi relative au "délit de violence psychologique" dans le couple ; en colère face à la faiblesse argumentative des témoignages diffusés dans le JT de 20h00 du mercredi 25 novembre 2009. Un petit rappel des valeurs et des principes est plus que jamais nécessaire : L’État n'a pas à s'ingérer directement dans la vie de couple ; l'État n'a pas à régenter les rapports humains, les attitudes et les comportements dans la sphère privée, et donc dans la vie de couple : cela s'appelle tout simplement du Totalitarisme, comme le suggérait d'ailleurs Toqueville dans son livre De la démocratie en Amérique. Il y a déjà dans le Code pénal des articles qui prennent en compte les atteintes à la dignité de la personne, et cela suffisait et aurait suffit amplement puisqu'il s'agissait, à la différence de la nouvelle loi en préparation, d'une loi générale, une loi extérieure et transcendante au couple. En effet, les articles 225-14 du code pénal et suivants sanctionnent le fait de soumettre une personne, en abusant de sa vulnérabilité ou de sa situation de dépendance à des conditions [...] d'hébergement incompatibles avec la dignité humaine. Le droit pénal ne manque donc pas de dispositions relatives aux atteintes à la dignité de la personnes, aux agressions verbales, aux menaces et aux violences psychologiques etc. Les raisons qui vont amener le gouvernement à légiférer sont en fait d'un autre ordre que celui du "vide juridique" supposé et avancé dans les médias : on est ici dans le domaine de l'idéologie féministe véhiculée par les médias sous domination féministe ainsi que leurs associations : femme victime, tout est viol etc. Les atteintes à la dignité de la personne s'inscrivaient jusqu'alors dans le cadre de la loi générale ; il n'en sera plus de même dorénavant : outre une ingérence et une intrusion directe et malsaine dans la gestion de notre vie intime et privée, le caractère incestueux d'une part de cette loi ne laisse pas d'inquiéter, la loi en préparation porte gravement atteinte aux valeurs républicaines et démocratiques pour la simple raison que dans une République, la loi n'a pas pour finalité de favoriser une communauté, et encore moins une catégorie sexuelle : en effet, les femmes sont d'emblée associées "dans l'esprit des juges" au statut de victimes, et le coupable désigné sera toujours et toujours l'homme : deux conséquences, primo, la discrimination sexuelle et le sexisme envers les hommes sont désormais légalisés et une fois de plus à sens unique ; secondo, cette loi accentuera la désintégration sociale et le délitement du lien social et du vivre-ensemble dans notre société, chacun pouvant se dire victime de l'autre pour des broutilles ! Le communautarisme (féministe, juif etc.) n'a pas sa place dans une République, mais pas pour le premier ministre. Pourtant, rien n'empêchait récemment encore de porter plainte pour atteinte à la dignité de la personne sans que cela puisse remettre en question le caractère inviolable de la sphère privée dans le couple, et on pouvait suite à des traitements dégradants, répétitifs, graves, difficilement prouvables judiciairement, difficilement identifiables et mesurables d'ailleurs, porter plainte contre son épouse ou son époux ! Cette ingérence directe et malsaine de l'État dans nos vies privées et intimes s'inscrit dans une sorte d'inceste étatique légal et légalisé que l'on ne saurait non seulement admettre mais qui est condamnable moralement et juridiquement à plus d'un titre ! Faut-il le rappeller aux magistrats ? C'est pourquoi il y a peu de gens qui oseront porter plainte ! La Loi symbolique séparant la sphère publique et la sphère privée doit rester inviolable et plus forte que l'État et sa volonté perpétuelle d'infantiliser les femmes et les français pour mieux contrôler leurs affaires, et en conséquence ici les dominer ; avec toute la souffrance et toute la violence qu'une telle domination étatique incestueuse sur les corps et les esprits peut engendrer d'ailleurs dans nos sociétés ! En effet, tout comme un lien maternel trop étroit favorise la violence chez les jeunes, le lien trop étroit mère/fils en effet ne permet pas à l'enfant de s'émanciper et d'être libre, il en est de même avec Big Mother et l'État maternel qui régne dans la société francaise (cf. Big Mother de Michel schneider) ; d'où des violences en constante augmentation malgré une inflation législative de plus en plus répressive : les mères autant que l'État maternel de l'UMP/du PS/et du MODEM sont les coupables, coupables car responsables de ce lien trop étroit et malsain qui ne permet pas l'émancipation des enfants et des hommes malgré le beau discours officiel d'émancipation ; mais c'est le genre féminin qui se pose en victime, cherchez l'erreur, elle est monumentale ! Et puis quand on ne s'entend plus dans un couple, on s'en va sans faire de chichis ! Et quand on n'y arrive pas tout seul, on se fait aider ! Le Code pénal n'a pas sa place en général dans ce genre d'affaires. Alors, ne donner aucune explications à l'Autorité policière et judiciaire si, un jour, vous êtes confronté à ce genre d'accusations et de dénonciations, qui peuvent être inventées par les femmes en toutes circonstances, et quoi qu'il arrive, le coupable, c'est l'homme, alors qu'il n'en est rien dans la réalité ! D'autre part, une loi votée par une minorité d'élus qui ne représente plus le peuple depuis longtemps (le Référendum sur L'Europe fédérale en est une démonstration éclatante) sous la pression d'une autre minorité qui plus est, il s'agit dans l'affaire qui nous concerne de féministes intégristes et extrémistes, n'a finalement aucun caractère légal et légitime : la "République" vient du latin respublica, c'est la "chose publique", c'est la "chose commune", c'est l'affaire de tous ; et non pas l'affaire exclusive de féministes intégristes et extrémistes : cette Loi n'est pas en conséquence une Loi de la République (cette loi en effet n'émane pas de la "Volonté générale" mais de la volonté d'associations féministes minoritaires et de leurs puissants alliés les médias ; elle ne s'inscrit pas non plus dans le respect des institutions et des valeurs républicaines qui stipulent l'existence d'une citoyeneté, d'une école de la République, d'un cadre national ou d'une souveraineté nationale, disparues depuis fort lontemps etc.)

     Titres des prochaines publications (à une date indéterminée dans l'ensemble) :  Alerte aux anti-démocrates (fin septembre 2010)  

    1.Le rapport bien particulier à la Loi des associations de victimes et de maître Geiger (publication : février 2010 environ) ; 2. Un acte sexuel forcé dans un couple n'est pas un viol : pourquoi ? ; 3. La notion de consentement n'a aucun sens ; 4. Alerte aux anti-démocrates (I,II,III) ; 5. Il n'y a plus d'école de la République en France ; 6. Le "négationnisme" de la nature humaine, de l'Histoire et de la vie par l'ordre matriarcale et féminin : ses conséquences sur la réalité de l'amour maternel ; 7. Le rapport bien particulier au Droit des politiques, des magistrats et des forces

     


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