• Les outrageurs de la démocratie et de la république

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    PRESIDENTIELLE 2012 

    UMP, Parti socialiste, Modem, Europe écologie etc. sont devenus les fossoyeurs et les imposteurs de la République. Mais ces partis ne font pas que salir la Robe de la République et la réduire à sa plus simple expression : une invocation verbale permanente de façade, ils confisquent également la démocratie. Il y avait donc urgence à dénoncer l'indicible et à démasquer alors ces « maîtres à penser » de l'européisme, du mouvementisme, du mondialisme etc. des idéologies qui sont aux antipodes des valeurs et des principes républicains et démocratiques, surtout à l'aube d'échéances électorales majeures : 2012.  
      
      En effet, des outrages à la République et au drapeau français sont commis par la députation française, en toute discrétion et en toute impunité. Ces outrages, qui inacceptables de la part de députés et de ministres en exercice, sont évidemment dissimulés aux français par les grands médias traditionnels : France TVLe mondeLe FigaroTF1M6Le pointL'Express, Europe 1, RTL etc.

    Lecture :  Résister au bougisme de Pierre-André Taguieff      
                   Le meilleur des mondes d'Aldous Huxley

     


     Triptyque sur la notion de démocratie  

    1ère partie 

        Citons ici et pour commencer les propos tenus par la féministe et philosophe Élisabeth Badinter dans l’émission100 minutes pour comprendre (du 19/01/2004) pour faire un lien entre le « corps d’une personne » (son intégrité et sa maîtrise) et le « corps de la nation » : “ Et je voudrais dire aussi, parce que ça me tient à cœur, c’est que tous les progrès qui ont été faits pour que la femme devienne maître de son corps, tout ces progrès, pardonnez moi de vous le dire, ont été fait contre les religieux. […] Et c’est cette enseignement de la maîtrise de soi [sous-entendu de son propre corps], de la libertéqui est la caractéristique d’une démocratie avancée. Et moi ce que je souhaite, c’est qu’on enseigne à toutes les petites françaises, de toutes origines, qu’elles ont le droit de ne pas être vierge, que leur corps est à elle, qu’il appartient ni au père, ni au mari, ni à personne. ” […] 
     
        La féministe et féminophile Élisabeth Badinter ne fait pas le lien entre le corps physique et le corps de la nation, et se contredit dans le mauvais sens du terme, car quant le « corps de la nation » est touché dans son intégrité et son identité, les corps physiques des sujets qui la composent le sont également : les guerres, la concurrence économique exacerbée, […] nous touchent dans notre chair, en raison des blessés et des morts dans le premier cas, et des délocalisations d’entreprises dans le second cas (cf. les cas de suicides chez France télécom). L'immigration massive n'est pas non plus sans conséquence sur ce qui fonde l'identité française […] Pourquoi, dès lors, vouloir supprimer l'identité française, et préserver uniquement celle qui nous constitue, en tant qu'humain, en matière de sexualité, si ce n'est pour de basses et mauvaises raisons relevant non pas de l'Intéret général mais d'intérets privés et personnels : la république et la démocratie s'oppose en théorie au totalitarisme, à la déshumanisation, à la décivilisation, à la barbarie érigées en politiques et en système politique de gouvernance par les partis traditionnels essentiellement ..

        Pourquoi ai-je fais un lien entre Le meilleur des mondes et Résister au bougisme ? La formule séduisante du Meilleur des mondes tient en la formule suivante : "Chacun appartient à tout le monde" ; avec pour conséquence que nous sommes tous potentiellement des partenaires amoureux en puisssance, puisqu'il n'y a plus de frontières entre moi et toi, entre un moi et un toi ; la formule des idéologies en vogue actuellement en Europe et dans le monde tient en ceci : "Puisqu'il y a plus de frontières entre les nations, puisqu'il ne doit plus y en avoir, nous devons suivre alors, sans broncher et se révolter, les injonctions, les diktats etc. de la mondialisation, du mondialisme, du bougisme, du fédéralisme européen, du FMI, de l'oligarchie planétaire etc..
    "  

      
       En un mot, les deux mondes sont cohérents dans l'atteinte de l'intégrité corporelle (corps physique et corps de la nation) et les deux "modèles idéologiques" asservissent hommes et femmes confondus, d'une certaine manière. Dictionnaire Robert : "Assujettir : "Mettre dans sa dépendance : Les peuples que Rome avait assujetti. Maintenir (qqn) dans l'obéissance. La mainmise de l'état [...] sur la pensée de tous les [hommes et femmes] qu'il assujettit(Duham). Dominer par un ascendant moral, tenir (qqn) sous son empire". Mais je ne suis pas là pour condamner un modèle idéologique et théorique au bénéfice d'un autre : libre à vous de choisir celui qui vous séduit. Mais dans le premier cas, on condamnerait la négation de l'identité humaine, si le modèle du Meilleur des mondes était appliqué en Europe en matière de sexualité ; à contrario, dans l'autre modèle, le modèle néolibérale, sans frontières, européiste, bougiste et mondialiste, qui n'est plus théorique celui-là, car il est déjà appliqué aux peuples du monde entier, on la vante et on en vante les bienfaits, alors qu'il y a aussi et pourtant négation de l'identité humaine. Mais alors pourquoi ? tout simplement parce que cela sert l'élite féminophile : UMPPSMODEM en France etc. !  Il s'agit d'unecontradiction majeure sur un sujet sensible [...] de la part de ces élites. 

     

        Le mot « outrage » a plusieurs sens, et le sens que l’on peut ici donner dans un premier temps est un sens volontairement ou involontairement galvaudé et erroné donné à des concepts politiques majeurs par les politiques, l’élite globaliste et les « gens-biens » :  les concepts de « République et Démocratie » en sont un parfait exemple. Si les nouvelles figures de la perversion (évoquées dans un article à venir) créent leur propre loi et l’imposent à la collectivité, en dehors du respect scrupuleux et rigoureux des procédures démocratiques […], elles donnent aussi au langage un sens qui lui convient, un sens qui correspond à mon désir à moi. Les mots « république » et « démocratie » ont un sens commun à l’origine : ils sont tout deux caractérisés par un espace national fermé par des frontières, garant de l’« indépendance », de la « maîtrise de son destin », n’en déplaise à la trahison et la falsification de ces termes par les politiques, les journalistes etc.. Faisant suite au livre intitulé le Mémento du républicain, et qui mettait en évidence une « République » vidé de son contenu, et qui n’en est plus vraiment une, telle une moto sans ses roues, son moteur et ses freins : en effet, une roue, un frein de moto, un moteur de moto ne constituent non seulement pas en tant que tel une moto, et encore moins une moto en état de marche, quelques principes républicains, telle la « sécurité », l’« égalité » et la « laïcité » ne constituent pas non plus l’ensemble des principes et valeurs caractérisant une République, et encore moins une république en fonctionnement, Résister au bougisme de Pierre-André Taguieff s’inscrit toujours dans la dénonciation d’un régime politique particulier mis en place d’abord et surtout depuis les années 1980 par les socialistes, et que j’ai décidé de baptiser par l’expression suivante : « l’Anti-République et l’Anti-Démocratie française », les termes République et démocratie étant étroitement liés et imbriqués. Mais d’abord, où les trouve t’on, ces antidémocrates ?  À l’UMP, au Parti socialiste, au Modem, au Front de gauche, à Europe écologie, mais aussi et surtout dans les médias etc. L’historien des idées et philosophe Pierre-André Taguieff, dans son livre Résister au bougisme, dénonce  les idéologies et les politiques qui sont la négation de l’idée de démocratie et de République, voir de civilisation : Utilitarisme, Consumérisme, Hédonisme, Éducation d’individus centrés sur leurs seuls intérêts particuliers sont en effet mis en valeur et encouragés dans les sociétés, à travers les idéologies propagées et imposées de l’Européisme, du Globalisme et du Mouvementisme et des politiques et des lois adoptés et appliqués en leur nom par la députation française, et ce « au détriment des valeurs et principes démocratiques et républicains », « au détriment de  l’émancipation des peuples, des hommes et des femmes de notre pays », « au détriment tout simplement de la dignité de la personne humaine » : l’émergence dans l’espace public d’un sujet autonome et d’un citoyen qui pense par lui-même ; « au détriment de nos valeurs issus du siècle des lumières » : la Raison, la Rationalité, le Progrès. « Où est passé le respect de la dignité la plus élémentaire de la personne humaine ? », peut-être que vous vous poserez la question,  après avoir lu ce livre dérangeant.  Peut-être que vous allez avoir la tentation, à la lecture de Résister au bougisme et pour les plus fous d’entre vous, de prendre un flingue, et d'assassiner un Brice Hortefeux, une Michèle Alliot-Marie etc. Non, je vous le déconseille vivement !

        Quant un homme ou une femme politique vous parleront de « citoyens européens et du monde etc. », et bien vous saurez dorénavant que c’est totalement faux, car il n’y a de République, de Démocratie et de citoyenneté que dans le cadre d’un espace national fermé par des frontières : la fameuse « Souveraineté nationale » inscrite d’ailleurs dansla constitution, et non pas dans un espace européen fédéraliste et encore moins mondial, que l’Européisme, le Globalisme et le bougisme etc., et les politiques menées en leur nom, instaurent de fait. Ces idéologies et ces politiques sont la négation de nos valeurs et de nos principes. « La République et le drapeau français sont outragés par ceux-là même qui en ont la charge et la fonction ; pire que ça, la députation prétend défendre à grand renfort médiatique et d’éloquence verbale la république, la démocratie etc. :  vous l’aurez ici compris et deviné :  leur volonté est de donner le change, en cherchant des poux uniquement à un pauvre type qui se torche le derrière dans un concours du politiquement-incorrect avec un drapeau français ; vous comprendrez qu’il faut donner le change et être dans la surenchère constamment pour dissimuler ces outrages à la République et au drapeau français. Les députés Français sont devenus les fossoyeurs de la république et de la démocratie ! Faut-il leur rappeler qu’ils en sont les dépositaires et les garants, qu’ils ont des devoirs ? Visiblement, ils n’en n’ont cure ; sauf pour vous qui votez pour ces monstres d’indignité et d’inhumanité et qui n’ont aucune excuse ! Une seul arme dans un premier temps à utiliser, la honte. « Faisons leur honte ! ». « La brûlure de la honte est le commencement de la morale », avait dit, non sans raison,Alain Finkielkraut à l’encontre des « barbares » des cités. Reformulons sa citation en la détournant de sa cible et en la focalisant sur l’élite globaliste (PS, modem, UMP etc.) : « La brûlure de la honte est le commencement d’émergence d’une conscience morale, humaniste, républicaine et démocratique », Faisons honte à la députation française, qui semble avoir perdu, ou n’avoir pas encore eu, ne serait-ce qu’un commencement de conscience morale !

    cf. ci-dessous des extraits du livre.

    E. Jourdain, psychanalyste 
     





    Extraits de Résister au bougisme (ou négation de l'identité humaine par l'UMP, le PS, le Modem

    « Les normes particulières de la modernisation mondialisatrice sont simples, voir sommaires : consommer toujours pluscommuniquer toujours plus rapidementéchanger d’une façon optimalement rentableRapiditéefficacité,flexibilitérentabilitéL’entrée dans la société bougiste planétaire et l’imposition à tous les peuples des valeurs de l’individualiste moderne/occidental (utilitaristes, "compétitivistes", hédonistess’accompagnent d’une réduction de la démocratie au couple formé par les droits de l’homme et le marché libresans frontières. Entre le sujet universel (le genre humain), sujet d’inhérence des droits de l’homme, et la multiplicité des individus idéalement dotés de droits, […] il ne doit rien y avoirNe doit rester que le face-à-face de l’universalité humaine abstraite et de l’individuinsulaire, mobile et sans mémoire, réduit à lui-même, littéralement dé-lié. Cette volonté d’éliminer les peuplesles nations et les États souverains est l’attribut principal du sujet mondialisateur et/ou globaliste, celui qui incarne ou représente le nouveau pouvoir polymorphe émergent à l’échelle planétaire. C’est là priver la démocratie de son champ d’inscription et d’exercicec’est plus largement abolir l’espace politique. […] Le processus de globalisation,toujours suivi par son double symbolique, [l’idéologie] du salut par le mouvement techno-marchandillégitime le politique tandis qu’il légitime […] le technique/technologiquel’économique et le financierLe lien social est pulvérisé pour être remplacé par les inter-actions libre-échangistesLe politique s’efface devant le médiatique et le financier, tandis que s’affaiblissent les institutions démocratiques. […] Cette idéologiefondée sur une promesse de salut dans et par le mouvement en avant perpétuel suivant une vitesse accéléréeje l’ai baptisée bougisme” ou “mouvementisme”. […] On peut caractériser le bougisme comme la dernière en date des métamorphoses de l’idée de progrès, produite par un appauvrissement de celle-ci : lorsque l’affirmation du progrès s’opère sans qu’en soit définie la notion, sans etre référée à des fins de l’homme qu’il s’agit de réaliser dans le futur (liberté, justice, etc.), sans s’appuyer sur une vision de l’Histoire universelle, elle revient à faire du “mouvement” ou du “changement” une idole, quelque chose comme un nouvelle Absolu, un substitut de l’Être suprême. Il s’agit d’un nouveau système du destin : au cœur de la vulgate émergente, l’on rencontre l’idée d’une évolution techno-marchande inéluctable. La catégorie vide de “mouvement” se charge ainsi de ce contenu résiduel. Voilà pourquoi, dans un contexte où “les forces rivales du tribalisme réactionnaire et de l’économie globale […] déchirent le tissu des nations démocratiques”, comme le dit très bien Barber, “ le combat pour la démocratie est devenu un combat non seulement contre la réaction, mais aussi contre un prétendu progrèsquiau nom de la globalisationpousse à la désintégration de la citoyenneté et à la marginalisation de la souveraineté populaire”. Par un paradoxe secrètement provocateur, les idéologues de la mondialisation rédemptricealors même qu’ils contribuent à détruire les conditions de possibilité de toute démocraties’efforcent de confisquer la référence à la démocratie et de monopoliser la célébration du régime démocratiqueCe discours en faveur de la démocratie que tiennent les nouvelles élites globalistes (et auquel elles tiennent tant), c’est-ce que je propose ici d’appeler le démocratisme”. Par ce mot en “isme ”, je désigne donc une rhétorique mystificatrice, impliquant un voilement idéologique de l’entrée dans la société posdémocratique, qui se caractérise notamment par l’effacement de la figure du citoyenau profit de celles du consommateur et de l’actionnaire.

    « Ce qu’on y appelle “démocratie” n’est que mise en scène médiatico-électoralerhétorique convenue et décor standard. C’est pourquoi la “vigilance démocratique”, réduite à une rhétorique “de bois” dans la société de réseaux qui remplace le civisme par le cynisme affairiste, tend à devenir l’esprit de la démocratie, supposé animer un système électoral intégralement professionnalisé. Une “vigilance” vide pour une démocratie spectrale. […] Les élites intellectuellespolitiques et médiatiques qui portent et illustrent le messianisme globalisteet démonisent simultanément tous les réfractaires à son imposition planétaire, sont au service de la nouvelle classe-caste transnationale qui, cumulant les pouvoirs économico-financiers et technologiques, vise en outre à se substituer aux dirigeants politiques traditionnelsélus de plus en plus évidemment dans des conditions pseudo-démocratiques(simple affaire de marketing) […] La nouvelle alliance de la ploutocratie et de la médiacratie a pour conséquence de réduire la démocratie à un spectacle commémoratifet de douteuse qualité. Tout se passe comme si la démocratie avait changé de nature. Comme si une transsubstantiation du type de régime avait eu lieu, masquée par la permanence de l’étiquetteLa vielle et belle dénomination recouvrirait une marchandise politique tout autre. Ne faut-il pas dès lors faire le constat d’une corruption de la démocratie, au sens conféré naguère à ce terme par l’Encyclopédie ? : […] « Corruption, en philosophie, est l’état par lequel une chose cesse d’être ce qu’elle était ; on peut dire que le bois est corrompu quant nous ne le voyons plus subsister, et qu’au lieu du bois nous trouvons du feu […]. De là cet axiome de philosophie, que la corruption d’une chose est la génération d’une autre. La corruption diffère donc de la génération comme deux contraires diffèrent l’un de l’autre. […] les contemporaines “sociétés démocratiques” sont en réalité des entités post-démocratiques et pseudo-démocratiques, et à bien des égards anti-démocratiquesAutant de raisons de se montrer réfractaire au modèle d’existence qu’elles s’efforcent d’imposer. […] »
    Les "violences psychologiques" dans la sphère publique faites aux dissidents politiques etc. en France (cf. le chapitre Soumission au destin économico-financier : de la résignation néo-religieuse au terrorisme intellectuel “bougiste”, sous chapitre intitulé Intolérances et répugnance de la “nouvelle classe”. 


    « Encore faut-il s’adapter au mouvement sans discussion ni interrogation ni révolteCeux qui refusent de suivre l’injonction bougiste et la version rose de la mondialisation sont aussitôt dénoncés et disqualifiés, en “novlangue”, comme “passéistes”, “frileux”, “rigides”, “crispés”, voir “réactionnaires”. Toute rébellion est stigmatisée commearchaïque”, toute résistance comme “populiste”. Le  “peuple”, voilà le superflu ; la nation, voilà l’origine de tout les maux. La nouvelle classe […] prend la relève des nomenklaturistes des prétendues “démocraties populaires” qui rêvaient de dissoudre le peuple pour opinions non conformes. Quant aux accusations de “fascisme” ou de“racisme”, plus récemment de “révisionnisme” ou de “négationnisme”, on sait qu’elles permettent, abusivement lancées, de disqualifier n’importe quel adversaire ou concurrent. De contraindre au silence les mauvais esprits. D’imposer surtout l’auto-censure dans l’espace des débats publicsD’installer ainsi un système de censure ni légal ni déclaré. […] La vraie censure, suggérait Barthesne consiste pas à empêcher de dire mais à obliger à dire.L’esprit de censure vise à imposer une langue châtiéeavec son lexique norméses tournures recommandéesses représentations positives et négativesOn dit et redit ce qu’il convient de dire. C’est ainsi que soupçons et accusationssont répétés. Tout se passe comme si […] l’installation de la pensée unique et obligatoire dans la société de consensus manipulé avait transformé l’espace pluraliste et conflictuel de la presse - et plus largement l’espace public - en un espace médiatique homogène, monodoxique, où règneraient un tyran invisible, le Journal unique ! L’opinion dominante n’a jamais tant tenu lieu de dogme, même pour les indifférents. Elle est fabriquée et entretenue dans les institutions du nouveau pouvoir intellectuel, devenu pouvoir médiatique. Démocratie est aussi vide que [...] (cf.Résister au bougisme pour la suite) 

    Dénonçer les outrages à la République et au drapeau français commis par la députation française est notre devoir à tous, car n’oublions jamais que des  femmes, mais surtourt des hommes, une inégalité de plus qui touche les hommes, sont morts pour des valeurs et les principes : émancipation des hommes et des femmes de notre pays, émancipation des peuples, et non leur asservissdement, pour la dignité de la personne humaine etc. COMBATTONS TOUS ENSEMBLE L'UMP LE PSLE MODEM, etc.

     

     

     

     

     

    Vive la République et la démocatie

    RE


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